Varda Étienne est une femme aux multiples talents : elle est à la fois journaliste, autrice, femme d’affaires, créatrice de contenu et artiste. Elle interview des vedettes depuis 21 ans à la télévision, elle signe quatre livres, et est en train d’en rédiger deux autres ; elle anime un podcast appelé BaVARDAge ; elle a lancé une série documentaire au printemps dernier et en a deux autres en production ; et elle fait ses débuts à la radio cet automne avec Véronique Cloutier et les Fantastiques sur les ondes de Rouge FM. Malgré son emploi du temps chargé, elle parvient à tenir son public au courant sur les médias sociaux avec des sketches hilarants, des conseils et des discussions authentiques sur sa vie ainsi qu’à propos de sa santé mentale. Étienne est atteinte du trouble bipolaire et du trouble de la personnalité limite, et la santé mentale est l’une des nombreuses causes qu’elle défend, notamment à travers sa série documentaire intitulée « Les enfants invisibles », dans laquelle elle donne la parole aux enfants de personnes atteintes de maladie mentale.
Elle-même, sans filtre
Lorsqu’on lui demande de se décrire, Étienne répond qu’elle est d’abord une artiste, mais aussi, et avant tout une mère. Elle a trois enfants, dont une adolescente, et ils sont sa priorité financière. S’assurer de subvenir à leurs besoins l’a rendue plus disciplinée, dit-elle, et le service Virement Interac l’a aidée dans des situations que tout parent d’adolescents a déjà vécues : « Lorsque mes enfants m’appellent au milieu de la nuit parce qu’ils n’ont plus d’argent pour prendre un taxi pour rentrer à la maison, ou qu’ils sont au restaurant et qu’ils n’ont plus d’argent pour payer l’addition, la solution la plus simple est de leur envoyer un Virement Interac. C’est une véritable bouée de sauvetage quand on a des enfants. »
Elle attribue son récent succès au fait d’être elle-même sans complexe dans le contenu qu’elle crée et dans la façon authentique dont elle se présente sur les médias sociaux. Elle a participé à une émission de téléréalité québécoise, ce qui a permis au public de la voir sous un autre jour : « Je pense que les gens ont pu découvrir une facette de ma personnalité qui était plus vulnérable. J’ai un personnage, je joue la diva, mais c’est un personnage. La vraie Varda, c’est la mère de famille. J’ai reçu beaucoup de messages, et les gens me disaient que je leur faisais penser à eux-mêmes. Je suis très accessible et je réponds aux gens qui m’écrivent, je le fais personnellement. Dans un métier comme le mien, mon patron, c’est le peuple! Alors s’ils prennent le temps de m’écrire, je prends le temps de répondre, tout le temps. »
S’entourer d’une équipe solide
Pour quelqu’un avec une carrière comme celle d’Étienne, tout faire seule est impossible. C’est pourquoi elle s’est construit une équipe solide qui la soutient dans plusieurs les aspects de sa vie, et envers qui elle ressent une immense gratitude qui transparaît dans la façon dont elle parle d’eux. Sur le plan professionnel, elle a deux agents qui l’aident à gérer ses comptes de médias sociaux et sa carrière en général respectivement. Pour gérer ses finances, elle travaille avec une société privée qui s’occupe de tout, du paiement des factures et des dépenses à la gestion de ses revenus : « Tous les mardis, je m’assois avec eux pour faire le bilan. De cette façon, je sais très bien où je m’en vais. C’est un travail d’équipe et la clé, c’est d’être bien entourée. Je sais exactement combien j’ai d’argent à dépenser, et je n’ai aucun casse-tête à ce niveau-là. »
Être en contrôle de son budget et savoir où elle s’en va d’un point de vue financier est très important pour Étienne, car il s’agit de son indépendance : elle travaille fort et en est fière. Interac occupe également une place particulière dans son cœur pour de nombreuses raisons, dont la facilité d’utilisation et la façon dont le service Virement Interac laisse des traces de ses opérations dans ses relevés.
« Il y a certains clients qui vont me payer par Virement Interac, et j’utilise aussi ce service dans ma vie de tous les jours. Par exemple, mon jardinier et l’homme qui s’occupe de ma piscine, je peux tous les payer par Virement Interac maintenant. »
Son mantra : la persévérance
Étienne est très occupée, c’est vrai, mais ce n’est pas par hasard : elle a persévéré pour atteindre le succès qu’elle connaît en ce moment. Son conseil pour quiconque souhaite se lancer en tant qu’artiste ou créateur en tout genre n’est donc pas surprenant : elle prône la persévérance. « Vous allez recevoir des millions de « non », mais ça ne prend qu’un seul « oui ». Il ne faut jamais baisser les bras. Parfois c’est toi qui tires le billet de loto. Il n’y a pas une fois que lorsque je passais une audition, que ce soit pour une pub, un rôle à la télé, en tant qu’animatrice, que je me suis dit que peut-être je ne l’aurais pas. Je rentre en me disant que je sors avec le contrat. Je fais ça tout le temps parce qu’il faut avoir confiance en soi. »
Varda reconnaît qu’elle profite de la vie au maximum en ce moment, et elle est reconnaissante et fière d’avoir pu accomplir autant de choses. Elle aura bientôt 50 ans, ce qui la pousse à réfléchir à ses réalisations passées et au travail qu’elle a dû faire pour y parvenir : « Je n’ai jamais été aussi confiante de ma vie à bientôt 50 ans. Admettons qu’au pire, je vis jusqu’à 75 ans, ça veut dire que j’ai vécu le deux tiers de ma vie, on s’entend? Il me reste un tiers. Est-ce que je peux te dire que le tiers qu’il me reste, chaque jour c’est la fête. Je suis dans la plus belle période de ma vie. Je suis en santé, physiquement et mentalement, j’ai trois enfants que j’adore, je suis en paix avec moi-même. La vie est belle! J’ai travaillé fort pour en arriver là et ça n’a pas toujours été le cas, mais en ce moment la vie est belle. »
C’est ça, vivre pleinement sa vie, et Varda le sait : prévoir et préparer l’avenir, sans aucun doute, mais ne pas oublier de profiter de chaque jour qui passe.