Si vous hésitez à dépenser pour les fêtes cette année, vous n’êtes pas seul. Alors que l’année touche à sa fin et qu’elle a été caractérisée par des menaces tarifaires et des perspectives économiques incertaines, bon nombre de Canadiens craignent de trop dépenser, selon un nouveau sondage d’Interac.
C’est bien connu : le temps des fêtes est une période chargée d’émotivité, où les espoirs de moments magiques en famille et entre amis se heurtent souvent à de dures réalités, telles que le budget ou (pire encore) son dépassement. Selon de nombreux Canadiens, la pression qu’ils ressentent pour créer des moments mémorables les incite à dépasser leur budget, que ce soit en raison des attentes familiales ou des idéaux créés par les médias sociaux.
En effectuant ce nouveau sondage, Interac voulait rassembler et partager des données sur les sentiments dominants des consommateurs.
« Les millions de transactions qu’elle traite chaque jour offrent à Interac une perspective unique sur les habitudes de dépenses des Canadiens. Selon notre plus récente étude, la saison des fêtes demeure une période où les décisions financières pèsent lourd sur de nombreux ménages », explique Chris Lee, responsable des paiements chez Interac.
Bien que l’humeur générale ne soit pas nécessairement caractérisée par la peur, le sondage révèle que la majorité des Canadiens prennent des mesures proactives pour éviter les regrets financiers qui ne sont que trop courants en janvier. « Cette année, nous constatons que les gens font preuve d’un ‘confort prudent’. Bon nombre d’entre eux dépensent avec soin et attention, partiellement en réponse à la hausse des prix. »
Pour ceux qui surveillent leurs dépenses cette année, voici six conclusions à retenir du sondage d’Interac sur les dépenses des fêtes.
1. Bon nombre de Canadiens craignent de trop dépenser, une situation que la majorité d’entre eux ont déjà connue
Quarante-deux pour cent des répondants craignent de trop dépenser cette année (ce chiffre grimpe à 52 pour cent pour les parents, ce qui n’a rien d’étonnant). Le regret de dépasser son budget est un sentiment que beaucoup éprouvent : soixante-trois pour cent des Canadiens disent avoir ressenti le regret ou des pressions financières après avoir dépensé excessivement pendant les fêtes, alors que 20 pour cent d’entre eux admettent que cela survient presque tous les ans. Pour huit pour cent des répondants de plus, c’est pratiquement une tradition : ceux-ci disent excéder leur budget chaque année.
M. Lee tient à rappeler aux gens que le fait de choisir Débit Interac pour payer peut les aider à mieux contrôler leurs dépenses. « Quand vous vérifiez vos dépenses en temps réel, le recours à Débit Interac peut vous aider à en rester conscients et à en garder le contrôle », dit-il. « Puisque vous dépensez des sommes que vous avez réellement entre les mains, vous faites échec aux factures surprises en janvier. »

2. Plus de la moitié des répondants disent avoir plus de difficulté à contrôler leurs dépenses des fêtes en raison de la hausse des coûts
Même si l’inflation a légèrement reculé au cours de l’année, la majorité des Canadiens (57 pour cent) conviennent qu’ils ont plus de difficultés à gérer leurs dépenses des fêtes en raison de la hausse des coûts. Quarante pour cent d’entre eux estiment que leur budget des fêtes de l’an dernier ne sera pas suffisant pour couvrir toutes leurs dépenses cette année.
Pourtant, malgré ces pressions, la majorité des Canadiens ne prévoient pas s’endetter pour tenter de suivre la tendance générale. Cinquante-neuf pour cent des répondants prévoient consacrer environ le même montant que l’an dernier à leurs cadeaux, alors que 21 pour cent d’entre eux réduisent intentionnellement leurs dépenses (contre 14 pour cent qui affirment avoir l’intention de dépenser plus).
« Ce n’est pas nécessaire de dépenser à l’excès pour créer des fêtes empreintes de sens, et la majorité des Canadiens choisissent de ne pas le faire », affirme M. Lee en ajoutant que 37 pour cent des gens veulent acheter moins de cadeaux et dépenser plus consciemment. « Pour nombre de personnes, l’important est de passer du temps avec leurs proches. Comme nous le disons depuis longtemps, il y a de nombreuses excellentes façons de le faire de manière responsable. »
3. La journée de magasinage la plus achalandée sera …
… le vendredi 19 décembre, selon les projections d’Interac, qui reposent sur les millions de transactions réalisées cette année et au cours d’années antérieures. Ainsi, si vous vous aventurez dans les magasins ce jour-là, attendez-vous à des foules!

4. C’est normal d’éprouver des émotions variées pendant les fêtes
Les fêtes suscitent des sentiments complexes pour de nombreux Canadiens. Au moment de faire le point sur leurs achats des fêtes de l’an dernier, 21 pour cent d’entre eux disent s’être sentis stressés ou avoir eu l’impression de dépasser leurs moyens (13 pour cent), avoir éprouvé des remords (7 pour cent) et même avoir été stupéfaits par leurs dépenses (5 pour cent). Pour d’autres, ce sont les sentiments de confiance (19 pour cent) et de fierté (15 pour cent) qui ont dominé.
Autrement dit, peu importe les sentiments que vous ressentez, vous êtes en bonne compagnie.
5. Les Canadiens emploient de nombreuses stratégies pour éviter les regrets
Les Canadiens prennent des mesures concrètes pour protéger leur bien-être financier pendant les fêtes. La stratégie la plus courante consiste à offrir des cadeaux moins nombreux, mais plus attentionnés (37 pour cent), suivie du contrôle des dépenses en temps réel (35 pour cent) et de l’espacement des achats pour en échelonner les coûts (26 pour cent).
Vingt-trois pour cent des répondants établissent des budgets rigoureux et y restent fidèles, alors que onze pour cent d’entre eux choisissent Débit Interac pour utiliser de l’argent qu’ils ont déjà entre les mains. Dix pour cent des Canadiens prévoient partager les coûts avec des membres de leur famille et des amis, approche que Virement Interac peut faciliter, souligne M. Lee.

« À notre avis, les stratégies de dépenses conscientes que les Canadiens ont adoptées au cours des dernières années sont en voie de devenir des habitudes bien établies, surtout quand les gens en constatent les avantages », affirme M. Lee. « Des mesures simples, comme le recours à Débit Interac pour payer ou l’utilisation de Virement Interac pour partager les coûts avec des membres de la famille, peuvent avoir un impact considérable sur votre sentiment de bien-être en janvier. »
Cela dit, 22 pour cent des répondants disent n’avoir encore dressé aucun plan de dépenses; il n’est pas trop tard pour le faire, conclut M. Lee.
6. Dans l’ensemble, les Canadiens semblent confortables, mais prudents à l’égard de leurs dépenses des fêtes
Malgré les soucis économiques qui font les manchettes, la majorité des Canadiens sondés ne paniquent pas; ils s’adaptent. Près de la moitié des répondants (49 pour cent) se disent « confortables, bien qu’ils surveillent leurs dépenses », alors que 13 pour cent d’entre eux affirment être à l’aise financièrement et en mesure de dépenser librement.
Pour ceux qui ressentent de l’anxiété, de petits changements comportementaux peuvent avoir un impact considérable, affirme M. Lee. Que ce soit en surveillant vos achats en temps réel, en choisissant des méthodes de paiement qui vous aident à respecter votre budget ou en utilisant Virement Interac pour partager les coûts avec leur famille — comme 19 pour cent des gens prévoient le faire — il y a des façons pratiques de profiter des fêtes sans regretter les dépenses excessives.
« Grâce à une approche judicieuse et aux bons outils », explique M. Lee, « les Canadiens peuvent profiter pleinement des fêtes, et ce, en créant des souvenirs plutôt qu’en éprouvant des regrets. »
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Au sujet du sondage d’Interac
Interac a demandé à Burson de sonder 1 500 résidents adultes du Canada au cours de la période du 19 au 24 novembre 2025. Cet échantillon incluait 377 parents canadiens. Il a été tiré au hasard de la tribune Web de répondants potentiels de Léger et il a été pondéré en fonction de l’âge, des genres et des régions pour rendre compte de la distribution de la population canadienne selon les données du recensement de 2021. Une marge d’erreur liée à un échantillon de n=1 500 choisi au hasard s’élève à ±2,5 %, 19 fois sur 20.